C’est bien le moins, . . .

C’est bien le moins, mon Dieu, qu’à défaut de vous—que je ne peux pas avoir—j’aie la consolation de toucher des lèvres, des yeux, de la pensée et de l’âme les admirables choses que vous écrivez.

[Letter written in Paris, 24 mars [1846], transcribed by Audrey Vala assisted by Florence Naugrette; available at Juliette Drouet: Lettres à Victor Hugo.]